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Vite. Deux transferts en train nous liberent du joug de la ville. Pour la campagne et sa fraicheur sous le regard du Fujisan. Les ecoliers en shorts doivent se cacher du vent froid de l`automne. Le lent parcours en train-serpentin a travers les villages paisibles valent mieux que cette fausse proximite avec le sommet de la montagne toujours un peu mythique.
Pour tenter d`oublier le vent froid qu`on aurait dit qu`il venait de chez nous, nous mangeons une pieuvre rotie dans la braise, a 2000 m d`altitude.
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